Aaaah la Provence. Voilà une région qui sait parler à nos 5 sens. Entre artisanat, culture et patrimoine, vins de Provence, gastronomie et nature, la Provence peut répondre à tous nos besoins et mieux que ça, les combler pour notre plus grand bonheur. Si la Provence est tant appréciée par les touristes comme les locaux, c’est avant tout pour son art de vivre.
Et si, on se laissait tenter par un pied à terre en Provence….
Misez sur votre bien-être en adoptant l’art de vie à la provençal
Prenons la direction de la Provence. Déjà sur la route, le soleil vient vous réchauffer les bras, titiller vos yeux et vous éclairer la journée. Ensuite, le son des cigales va venir chatouiller vos oreilles. Et enfin, les champs de lavandes viendront effleurer votre nez et votre vue. Ca y est vous êtes en Provence. A votre arrivée, un pastis rafraichissant vous désaltérera.
La route vers la Provence, c’est déjà le voyage , c’est déjà les vacances.
Une fois, sur place, votre mode de vie s’adapte très vite à cette façon de vivre provençale. Quelques marchés le matin pour découvrir des produits du terroir parfumés et uniques, la visite de vignobles l’après-midi pour y admirer les paysages et ravir nos papilles. Une petite partie de pétanque pour accompagner l’apéro et nous voici déjà réuni autour d’une bonne tablée d’amis.
La Provence, c’est ça. Reconnecter avec ses 5 sens, se déconnecter et apprendre à réapprécier chaque petit moment de la vie.
Une villa en Provence : un investissement bien-être
Investir dans un villa en Provence, c’est avant tout vous assurer un pied-à-terre tout au long de l’année. Une fois que le besoin se fait sentir vous filez derrière votre volant et la Provence vous accueillera les bras ouvert pour vous offrir une pause et quelques jours de déconnexion.
C’est avant tout un achat pour vous faire plaisir et vous garantir une bonne adresse de vacances. C’est aussi l’occasion d’assurer votre pension avec des revenus autour de cette villa.
La Provence, bien plus qu’une région du sud, une région où il fait bon vivre.
